L’histoire, les histoires d’un pays et d’une culture : Analyse projection et anticipation politico-criminelle avec La Malédiction de Constantin (première fiction d’anticipation de la littérature turque) et Le Sang des rêves.
Rendez-vous donc, jeudi 25 novembre à 19h au Musée du Quai Branly, salon de lecture Jacques Kerchache (au RDC) dans la limite des places disponibles. 37 quai Branly (face à la passerelle Debilly) ou 206 et 218 rue de l’Université.
Mine G. Kirikkanat
Née à Ankara, diplômée de l’Université d’Istanbul, elle est sociologue de formation, journaliste de métier. Laïque, démocrate, Mine Kirikkanat a été élue, à trois reprises, la journaliste la plus courageuse de Turquie. Elle a publié huit livres dont deux sont traduits en français.
La Malédiction de Constantin, présentation de l’éditeur.
Féridée est la correspondante à Paris d’un grand journal turc, elle a une liaison avec un chef de file de la cause séparatiste kurde. La nuit où ils se retrouvent clandestinement dans un hôtel à Paris, il est assassiné et Féridée échappe au tueur. Terrifiée, elle s’enfuit à Bruxelles chez un ami haut fonctionnaire de l’Union européenne qui, à son arrivée, lui apprend qu’Istanbul a été secouée par un grand tremblement de terre et qu’un raz de marée a englouti une partie de la région. L’aide internationale se met en place, et avec elle se révèle la rivalité entre les intérêts économiques de l’Union européenne et des USA. Féridée part à Istanbul à la recherche des siens et assiste à cette lutte géopolitique où se joue l’avenir de son pays.
Le sang des rêves, présentation de l’éditeur.
Dans un futur proche, après le grand tremblement de terre qui l’a entièrement détruite, Istanbul passée sous le contrôle des Nations Unies a été rebaptisée Nova Roma, elle est redevenue la capitale du monde orthodoxe, rivale du Vatican catholique. La Russie orthodoxe et l’hétéroclite Union chrétienne de l’Occident se livrent à une nouvelle guerre froide. A la recherche de chefs historiquement indiscutables, les services secrets américains et européens se mettent en quête d’un inconnu qu’ils supposent descendant de Cesar Crispus, fils aîné de Constantin le Grand, fondateur de la Nouvelle Rome qui ne s’appela Constantinopolis qu’après sa mort … Trois agents européens d’origine turque, Daryal, Sinan et Hilmi, sont chargés de retrouver cet héritier impérial, puisqu’ils connaissent mieux que quiconque le théâtre et les acteurs de l’histoire dont naîtra, peut-être, l’avenir.
Rendez-vous donc, jeudi 25 novembre à 19h au Musée du Quai Branly, salon de lecture Jacques Kerchache (au RDC) dans la limite des places disponibles. 37 quai Branly (face à la passerelle Debilly) ou 206 et 218 rue de l’Université.
Mine G. Kirikkanat
Née à Ankara, diplômée de l’Université d’Istanbul, elle est sociologue de formation, journaliste de métier. Laïque, démocrate, Mine Kirikkanat a été élue, à trois reprises, la journaliste la plus courageuse de Turquie. Elle a publié huit livres dont deux sont traduits en français.
La Malédiction de Constantin, présentation de l’éditeur.
Féridée est la correspondante à Paris d’un grand journal turc, elle a une liaison avec un chef de file de la cause séparatiste kurde. La nuit où ils se retrouvent clandestinement dans un hôtel à Paris, il est assassiné et Féridée échappe au tueur. Terrifiée, elle s’enfuit à Bruxelles chez un ami haut fonctionnaire de l’Union européenne qui, à son arrivée, lui apprend qu’Istanbul a été secouée par un grand tremblement de terre et qu’un raz de marée a englouti une partie de la région. L’aide internationale se met en place, et avec elle se révèle la rivalité entre les intérêts économiques de l’Union européenne et des USA. Féridée part à Istanbul à la recherche des siens et assiste à cette lutte géopolitique où se joue l’avenir de son pays.
Le sang des rêves, présentation de l’éditeur.
Dans un futur proche, après le grand tremblement de terre qui l’a entièrement détruite, Istanbul passée sous le contrôle des Nations Unies a été rebaptisée Nova Roma, elle est redevenue la capitale du monde orthodoxe, rivale du Vatican catholique. La Russie orthodoxe et l’hétéroclite Union chrétienne de l’Occident se livrent à une nouvelle guerre froide. A la recherche de chefs historiquement indiscutables, les services secrets américains et européens se mettent en quête d’un inconnu qu’ils supposent descendant de Cesar Crispus, fils aîné de Constantin le Grand, fondateur de la Nouvelle Rome qui ne s’appela Constantinopolis qu’après sa mort … Trois agents européens d’origine turque, Daryal, Sinan et Hilmi, sont chargés de retrouver cet héritier impérial, puisqu’ils connaissent mieux que quiconque le théâtre et les acteurs de l’histoire dont naîtra, peut-être, l’avenir.
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