Les Habits Noirs au Quai Branly
Nouvelle rencontre dans le cadre du cycle Les quatre continents du polar : Jeudi 27 mai l’Iran avec Naïri Nahapétian, journaliste, écrivain iranienne, auteur de Qui a tué l’ayatollah Kanuni ?, un polar solidement ancré dans l’Iran moderne, à la veille de l’élection de Mahmoud Ahmadinejad …
Au programme :
-Projection de Siah Bazi de Maryam Khakipour, documentaire sur la fermeture subite par le gouvernement iranien il y a un an et demi du Théâtre Nasr, le plus beau et le plus ancien théâtre de Téhéran. (45 minutes).
-Discussion autour d’un livre et de ses suites, exploration d’un genre littéraire et d’un pays.
Rendez-vous donc, jeudi 27 mai à 19h au Musée du Quai Branly dans le salon de lecture Jacques Kerchache (au RDC).
37 quai Branly (face à la passerelle Debilly) ou 206 et 218 rue de l’Université.
Qui a tué l’ayatollah Kanuni ? de Naïri Nahapétian
Narek Djamshid est journaliste indépendant d’origine iranienne. En ce mois de juin 2005, il décide de revenir à Téhéran, ville de son enfance quittée 23 ans plus tôt, pour suivre l’élection présidentielle qui aura lieu dans les semaines à venir. Mais son article n’avance pas beaucoup, le temps se traîne chez sa vieille tante Vart qui s’applique à lui présenter chaque jour un nouveau membre de sa famille. Narek a surtout le sentiment de passer sa vie à table avec ces oncles et cousins éloignés venus se remémorer des souvenirs dont il ne conservait aucune trace. Mais les souvenirs des uns activent parfois les réseaux des autres et de fil en aiguille Narek croise et rencontre des amis d’amis, des voisins, quelques étudiants, un ancien homme politique opposant laïque au régime jet seteur à ses heures et sa femme, un ambassadeur et surtout Leila Tabihi célèbre féministe islamiste, fille d’une figure historique de la révolution de 1979 qui présente sa candidature à l’élection. Leila a bien connu les parents de Narek. Et c’est autant pour faire avancer son article que pour obtenir certains éclaircissements sur la mort de sa mère, le départ et les silences de son père que Narek accompagne Leila au palais de justice pour déposer un dossier dans le bureau du tout-puissant juge Kanuni, principal responsable de la répression des opposants iraniens. Et voilà que le juge est retrouvé assassiné dans son bureau, projetant Narek au cœur d’une bien sombre affaire remontant jusqu’à la période trouble de l’instauration de la République islamique.
Nouvelle rencontre dans le cadre du cycle Les quatre continents du polar : Jeudi 27 mai l’Iran avec Naïri Nahapétian, journaliste, écrivain iranienne, auteur de Qui a tué l’ayatollah Kanuni ?, un polar solidement ancré dans l’Iran moderne, à la veille de l’élection de Mahmoud Ahmadinejad …
Au programme :
-Projection de Siah Bazi de Maryam Khakipour, documentaire sur la fermeture subite par le gouvernement iranien il y a un an et demi du Théâtre Nasr, le plus beau et le plus ancien théâtre de Téhéran. (45 minutes).
-Discussion autour d’un livre et de ses suites, exploration d’un genre littéraire et d’un pays.
Rendez-vous donc, jeudi 27 mai à 19h au Musée du Quai Branly dans le salon de lecture Jacques Kerchache (au RDC).
37 quai Branly (face à la passerelle Debilly) ou 206 et 218 rue de l’Université.
Qui a tué l’ayatollah Kanuni ? de Naïri Nahapétian
Narek Djamshid est journaliste indépendant d’origine iranienne. En ce mois de juin 2005, il décide de revenir à Téhéran, ville de son enfance quittée 23 ans plus tôt, pour suivre l’élection présidentielle qui aura lieu dans les semaines à venir. Mais son article n’avance pas beaucoup, le temps se traîne chez sa vieille tante Vart qui s’applique à lui présenter chaque jour un nouveau membre de sa famille. Narek a surtout le sentiment de passer sa vie à table avec ces oncles et cousins éloignés venus se remémorer des souvenirs dont il ne conservait aucune trace. Mais les souvenirs des uns activent parfois les réseaux des autres et de fil en aiguille Narek croise et rencontre des amis d’amis, des voisins, quelques étudiants, un ancien homme politique opposant laïque au régime jet seteur à ses heures et sa femme, un ambassadeur et surtout Leila Tabihi célèbre féministe islamiste, fille d’une figure historique de la révolution de 1979 qui présente sa candidature à l’élection. Leila a bien connu les parents de Narek. Et c’est autant pour faire avancer son article que pour obtenir certains éclaircissements sur la mort de sa mère, le départ et les silences de son père que Narek accompagne Leila au palais de justice pour déposer un dossier dans le bureau du tout-puissant juge Kanuni, principal responsable de la répression des opposants iraniens. Et voilà que le juge est retrouvé assassiné dans son bureau, projetant Narek au cœur d’une bien sombre affaire remontant jusqu’à la période trouble de l’instauration de la République islamique.
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