"L’écrivain francophone sans doute le plus comportementaliste de tous, aux constats terrifiants mais sans aucun jugement..."
Jean Bernard Pouy
"C’est un Zidane de la nouvelle : droit au but et on se pâme. Sombrero ? Oui, chapeau bas".
Francis Mizio
La librairie Folies d'encre vous invite le mercredi 25 avril 2012 à partir de 18h30à une rencontre
avec Marc Villard et une lecture de son livre I remember Clifford
éditions Folies d’encre
Lecture par les Fabulos lectors of Montreuil
Sax Romain
Musique & Buffet opportun
Sax Romain
Musique & Buffet opportun
J.D Jazz News mai 2012
“Marc Villard, le jazz, des nouvelles … Voilà un mélange qui ne peut être que gagnant. C’est une fois de plus le cas avec ce petit recueil I remember Clifford, qui a en plus le mérite d’avoir une couverture superbe.Ben Webster, Chester Himes, Thelonious Monk et quelques inconnus nous entrainent de New York à Naples, de San Diego à Amsterdam, de Paris à Barcelone. Au gré de huit nouvelles, sur une BO bebop, latin jazz ou swing nous allons croiser avec eux des putes, des dealers, des flics et des arnaqueurs, des petits truands, de vrais salopards et surtout des paumés et des oiseaux de nuit. La faune habituelle des écrits de Marc Villard. Une fois de plus, au gré de ces nouvelles il va nous émouvoir, nous faire sourire et nous faire enrager. Une fois de plus cela finira très mal, et cela sera très sombre. Une fois de plus il va nous donner à entendre la musique qu’il aime, mais aussi sa musique, celle de ses phrases de ses mots. Et on en redemande.” JM Laherrère Actu-du-noir avril 2012“En fin connaisseur du jazz dont il a assimilé le langage, Marc Villard nous entraîne à Amsterdam, Barcelone, Naples, Kinshasa, New York, Paris, Tijuana en des lieux où grouille cette musique dans des conditions difficiles. Durant ses visites, nous faisons connaissance du fougueux Ben Webster, entre billard, soufflant, et caméra, celle du dégingandé Dexter Gordon, de Coltrane à la cantonade, de l’incontournable et facétieux Monk, Chet Baker et Art Pepper, deux destins tragiques. C’est dans les boites mal famées, enfumées, que s’improvise le bon jazz qui dévale, menace, s’accumule au rythme de l’impatience des musiciens. En coulisse, les instruments à vent se font la malle bourrée de fric, dopé par la dope. Un irrégulier qui ne s’acquitte pas de ses obligations envers un quidam de passage à qui il doit des sous, risque de se retrouver mal : Cry me a river aboie le trafiquant. Un lourd nuage enveloppe The bridge de Sonny Rollins ; dire Bye bye blackbirdn’est pas forcément de bon augure. On peut avec un peu d’imagination siffloter Take the « A » Train à propos de Chester Himes venu avec Ed Cercueil dans ces nouvelles qui raviront les amateurs de romans noirs et ceux d’une musique qui n’a cessé de compter dans ses rangs des génies foudroyés dans la fleur de l’âge. Marc Villard croque ses sujets aux contours nets d’un dessin de Clouet sans déflorer, comptant pour le reste sur l’imagination du lecteur.” Alfred Eibel Avril 2012
Librairie Folies d'encre
“Marc Villard, le jazz, des nouvelles … Voilà un mélange qui ne peut être que gagnant. C’est une fois de plus le cas avec ce petit recueil I remember Clifford, qui a en plus le mérite d’avoir une couverture superbe.Ben Webster, Chester Himes, Thelonious Monk et quelques inconnus nous entrainent de New York à Naples, de San Diego à Amsterdam, de Paris à Barcelone. Au gré de huit nouvelles, sur une BO bebop, latin jazz ou swing nous allons croiser avec eux des putes, des dealers, des flics et des arnaqueurs, des petits truands, de vrais salopards et surtout des paumés et des oiseaux de nuit. La faune habituelle des écrits de Marc Villard. Une fois de plus, au gré de ces nouvelles il va nous émouvoir, nous faire sourire et nous faire enrager. Une fois de plus cela finira très mal, et cela sera très sombre. Une fois de plus il va nous donner à entendre la musique qu’il aime, mais aussi sa musique, celle de ses phrases de ses mots. Et on en redemande.” JM Laherrère Actu-du-noir avril 2012“En fin connaisseur du jazz dont il a assimilé le langage, Marc Villard nous entraîne à Amsterdam, Barcelone, Naples, Kinshasa, New York, Paris, Tijuana en des lieux où grouille cette musique dans des conditions difficiles. Durant ses visites, nous faisons connaissance du fougueux Ben Webster, entre billard, soufflant, et caméra, celle du dégingandé Dexter Gordon, de Coltrane à la cantonade, de l’incontournable et facétieux Monk, Chet Baker et Art Pepper, deux destins tragiques. C’est dans les boites mal famées, enfumées, que s’improvise le bon jazz qui dévale, menace, s’accumule au rythme de l’impatience des musiciens. En coulisse, les instruments à vent se font la malle bourrée de fric, dopé par la dope. Un irrégulier qui ne s’acquitte pas de ses obligations envers un quidam de passage à qui il doit des sous, risque de se retrouver mal : Cry me a river aboie le trafiquant. Un lourd nuage enveloppe The bridge de Sonny Rollins ; dire Bye bye blackbirdn’est pas forcément de bon augure. On peut avec un peu d’imagination siffloter Take the « A » Train à propos de Chester Himes venu avec Ed Cercueil dans ces nouvelles qui raviront les amateurs de romans noirs et ceux d’une musique qui n’a cessé de compter dans ses rangs des génies foudroyés dans la fleur de l’âge. Marc Villard croque ses sujets aux contours nets d’un dessin de Clouet sans déflorer, comptant pour le reste sur l’imagination du lecteur.” Alfred Eibel Avril 2012
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